27 février
- Le seisme a commencé à 3h40 du matin para quelques secousses semblables à celles que l'on ressent très souvent au cours de l'année. Mais elles ont ensuite augmenté et le bruit est devenu assourdissant, se prouisant aussi des éclaris que l'on pu voir même au travers des rideaux fermés. Notre maison sautait pratiquement au cré des ondes de choc et les meubles se déplaçaient. Cela a duré trois éternelles minutes. A tout moment nous nous attendions à ce que le toit tombre sur nous, mais notre construction est antisismique. Moins de chance ont eu les habitants de 500.000 maison qui ont été complètement détruites, provoquant -selon le compte actuel- plus de 700 morts (en partie emportés aussi par les vagues du tsunami qui a ravagé la côte).
Bien que c'est mon troisième séisme important à Santigo (après 1970 et 1985), je n'avais jamais senti quelque chose de semblalble, et c'est effectivement le plus grave depuis 1960. Il y aurait maintenant plus de deux millions et demi de sans abri.
- L'épicentre est situé à environ 400km au sud de Santiago, et le choc a été de 8,8º Richter. A Santiago, on a ressenti 6,5º. Il s'est produit una fracture (souterraine) de 350km de long, dans une zone qui n'avait plus eu de séisme sériquex depuis 1835.
- L'aéroport de Santiago a dû être fermé. Une partie du toit s'est effondré ainsi qu'unepasserelle d'accès. Mais les pistes sont en parfait état.
- Deux villages de la côte ont été pratiquement rasés par le tsunami (des vagues de plus de 15 mètres de haut). Un bateau de pèche à été trouvé à 400m à l'intérieur des terres. Au port proche de la ville de Conception (la 2º la plus importante du pays et la plus affectée), plusieurs bateaux sont maintenant SUR les quais.
- Un village côtier de l'île de Juan Fernandez (île Robinson Crusoe) a aussi été innondé par la mer qui est entrée 3km dans les terres, avec aussi des vagues de 15 mètres.
- Plusieurs hopitaux sont complètement inutilisables et les malades sont soignés dans les jardins.
- 269 détenus se sont évadés d'une prison de la zone affcetée.
- L'autoroute Nord-Sud est coupée en de nombreux endroits suite au pavement détruit et uax ponts qui sont tombés, ce qui pose de sérieux problèmes de logistique.
- Le mouvement sismique a été senti jusqu'à Buenos Aires.
28 février
- Un supermarché de Conception a été complètement mis à sac, malgré l'intervention de la police qui a interrompu pour qulque temps le pillage en lançant des gas lacrymogènes. Les voleurs utilisaient non seulement des sacs à dos mais chargeaient même des trycicles ou des brouettes, et pas seulement pour des vivres: aussi des articles électroniques et des télévisuers à plasma. Les autres supermarchés ont décidé de rester fermés, mais sans protection policière ils risquent aussi d'être envahis. Le gouvernement a décidé -avec les propriétaires et à charge de l'Etat- de les faires distribuer les vivres dont ils disposent, dans les deux régions affectées.
- L'état d'urgence a été décrété dans ces deux régions, ce qui permet à l'armée de prendre le contrôle et, tant à elle qu'à la police, de réprimer tout désordre. Cela agilise aussi tous les processus administratifs nécessaires pour mitiger les situations problématiques.
- Au lieu de contruire -comme annoncé- de nouveaux hopitaux -car il en manque- et des maisons sociales, le nouveau gouvernement, qui assume le 11 mars, devra d'abord reconstruir tout ce qui est maintenent en ruines.
Photos: Journal El Mercurio
- Le seisme a commencé à 3h40 du matin para quelques secousses semblables à celles que l'on ressent très souvent au cours de l'année. Mais elles ont ensuite augmenté et le bruit est devenu assourdissant, se prouisant aussi des éclaris que l'on pu voir même au travers des rideaux fermés. Notre maison sautait pratiquement au cré des ondes de choc et les meubles se déplaçaient. Cela a duré trois éternelles minutes. A tout moment nous nous attendions à ce que le toit tombre sur nous, mais notre construction est antisismique. Moins de chance ont eu les habitants de 500.000 maison qui ont été complètement détruites, provoquant -selon le compte actuel- plus de 700 morts (en partie emportés aussi par les vagues du tsunami qui a ravagé la côte).
Bien que c'est mon troisième séisme important à Santigo (après 1970 et 1985), je n'avais jamais senti quelque chose de semblalble, et c'est effectivement le plus grave depuis 1960. Il y aurait maintenant plus de deux millions et demi de sans abri.
- L'épicentre est situé à environ 400km au sud de Santiago, et le choc a été de 8,8º Richter. A Santiago, on a ressenti 6,5º. Il s'est produit una fracture (souterraine) de 350km de long, dans une zone qui n'avait plus eu de séisme sériquex depuis 1835.- L'aéroport de Santiago a dû être fermé. Une partie du toit s'est effondré ainsi qu'unepasserelle d'accès. Mais les pistes sont en parfait état.
- Deux villages de la côte ont été pratiquement rasés par le tsunami (des vagues de plus de 15 mètres de haut). Un bateau de pèche à été trouvé à 400m à l'intérieur des terres. Au port proche de la ville de Conception (la 2º la plus importante du pays et la plus affectée), plusieurs bateaux sont maintenant SUR les quais.- Un village côtier de l'île de Juan Fernandez (île Robinson Crusoe) a aussi été innondé par la mer qui est entrée 3km dans les terres, avec aussi des vagues de 15 mètres.
- Plusieurs hopitaux sont complètement inutilisables et les malades sont soignés dans les jardins.
- 269 détenus se sont évadés d'une prison de la zone affcetée.
- L'autoroute Nord-Sud est coupée en de nombreux endroits suite au pavement détruit et uax ponts qui sont tombés, ce qui pose de sérieux problèmes de logistique.
- Le mouvement sismique a été senti jusqu'à Buenos Aires.
28 février
- Un supermarché de Conception a été complètement mis à sac, malgré l'intervention de la police qui a interrompu pour qulque temps le pillage en lançant des gas lacrymogènes. Les voleurs utilisaient non seulement des sacs à dos mais chargeaient même des trycicles ou des brouettes, et pas seulement pour des vivres: aussi des articles électroniques et des télévisuers à plasma. Les autres supermarchés ont décidé de rester fermés, mais sans protection policière ils risquent aussi d'être envahis. Le gouvernement a décidé -avec les propriétaires et à charge de l'Etat- de les faires distribuer les vivres dont ils disposent, dans les deux régions affectées.
- L'état d'urgence a été décrété dans ces deux régions, ce qui permet à l'armée de prendre le contrôle et, tant à elle qu'à la police, de réprimer tout désordre. Cela agilise aussi tous les processus administratifs nécessaires pour mitiger les situations problématiques.- Au lieu de contruire -comme annoncé- de nouveaux hopitaux -car il en manque- et des maisons sociales, le nouveau gouvernement, qui assume le 11 mars, devra d'abord reconstruir tout ce qui est maintenent en ruines.