Une nouvelle force émerge à la Chambre basse: le "Parti des Gens"
(Extraits de La Tercera, 22/11/2021)
(Extraits de La Tercera, 22/11/2021)
Le parti de Franco Parisi a surpris et obtenu un banc de six députés. Les parlementaires élus se déclarent économiquement libéraux, mais moralement conservateurs. De plus, ils seront déterminants pour les décisions de la prochaine législature.
Le 26 juillet, le Parti des Gens a fait irruption sur la scène politique chilienne en inscrivant près de plus de 40.000 militants dans le pays. Par ailleurs, il avait annoncé la candidature de 148 candidats à la Chambre des députés et 36 pour le Sénat, qui accompagnaient Franco Parisi [son président, qui réside aux Etats-Unis]. A cette époque, reconnaissent leurs candidats, ils pariaient de monter une campagne ambitieuse avec la conviction d'arriver au Congrès. Et ils ont réussi.
Le résultat leur permettra d'être un bloc avec lequel les coalitions plus traditionnelles devront négocier pour faire passer des lois et des réformes.
Víctor Pino, candidat élu, administrateur d'entreprise de profession, dit qu'il est du centre, ni de la gauche ni de la droite, mais il admet qu'il a des valeurs qui coïncident avec le monde conservateur et qu'il a même voté pour le président Sebastián Piñera lors des dernières élections. Roberto Arroyo, dentiste, se dit conservateur et avait aussi voté pour Piñera; Rubén Oyarzo se dit de centre, religieusement conservateur, mais économiquement libéral, et suivra la décision du parti; Gaspar Rivas a été parlementaire de Rénovation Nationale (parti de droite) mais a voulu se distancier de la division traditionnelle en gauche et droite.
Le 26 juillet, le Parti des Gens a fait irruption sur la scène politique chilienne en inscrivant près de plus de 40.000 militants dans le pays. Par ailleurs, il avait annoncé la candidature de 148 candidats à la Chambre des députés et 36 pour le Sénat, qui accompagnaient Franco Parisi [son président, qui réside aux Etats-Unis]. A cette époque, reconnaissent leurs candidats, ils pariaient de monter une campagne ambitieuse avec la conviction d'arriver au Congrès. Et ils ont réussi.
Le résultat leur permettra d'être un bloc avec lequel les coalitions plus traditionnelles devront négocier pour faire passer des lois et des réformes.
Víctor Pino, candidat élu, administrateur d'entreprise de profession, dit qu'il est du centre, ni de la gauche ni de la droite, mais il admet qu'il a des valeurs qui coïncident avec le monde conservateur et qu'il a même voté pour le président Sebastián Piñera lors des dernières élections. Roberto Arroyo, dentiste, se dit conservateur et avait aussi voté pour Piñera; Rubén Oyarzo se dit de centre, religieusement conservateur, mais économiquement libéral, et suivra la décision du parti; Gaspar Rivas a été parlementaire de Rénovation Nationale (parti de droite) mais a voulu se distancier de la division traditionnelle en gauche et droite.